Concours

Mardi 12 mai 2 12 /05 /Mai 23:56

POUR UN APERITIF INTIME

 

FOUNETTE SAUTEE AUX OLIVES

 

Ingrédients :

 

1 Founette

1 bouteille de champagne

Olives vertes et noires

De l’ardeur

 

-          Choisir une Founette bien fraîche, par expérience vous la choisirez bien mûre, elle sera plus douce

-          L’oindre délicatement d’huile parfumée en insistant bien sur les petits plis

-          Masser longuement pour l’attendrir

-          Arroser d’une coupe de champagne bien frais pour raffermir les chairs

-          Goûter longuement pour bien vous imprégner des saveurs

-          Arroser à nouveau, laisser mariner quelques minutes le temps de l’échauffer

-          Garnir d’olives vertes et noires  et décorer de fenouil ou de persil selon goût

-          Refermer l’écrin et laisser reposer le temps de savourer une coupe de champagne

-          Ouvrir l’écrin et picorer lentement à la bouche, suavement, olive par olive tout en massant langoureusement la Founette

-          Lorsque vous sentez la Founette bien ouverte, enfournez vigoureusement et arrosez de nectar

-          Rafraîchissez au champagne et régalez vous des jus en roulant bien la langue pour harmoniser les goûts.

 

 

La recette peut être renouvelée à l’infini, il suffit d’un soupçon de créativité, d’un zeste de coquinerie …

 

JOYEUX APPETIT !

 

Zibelyne le 22 03 2007

Par zibelyne - Publié dans : sexeaulogis
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Mardi 12 mai 2 12 /05 /Mai 23:43

Papier, quand tu nous tiens

 

 

Assise je glisse ma main

Dans la fente béante et cherche,

Mais je ne trouve rien.

J’insiste, fouille, tâte,

Rien ne vient.

 

Je te prends en douceur

Ma main se fait caressante

Je te palpe, insistante

Déroulant tes rondeurs en

Chuintement lancinant.

 

Enfin je te saisis joyeuse

Et t’attrape fermement

Déroule ta trame soyeuse

Te déchire sauvagement

Soulagée, victorieuse

Et te jette sans tendresse,

Te regarde disparaître

Dans le tourbillon avide

De la chasse vengeresse…

 

Zibelyne le 13 12 2006

 

Par zibelyne - Publié dans : poème
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Mardi 12 mai 2 12 /05 /Mai 23:42

Nostalnuit

 

Les vers luisants embaument la nuit

Du parfum chatoyant des roses qui s’effeuillent.

Seule à ma fenêtre je hume avec délice

La douceur de la nuit bruissante du souffle de la vie.

Seul me manque l’être cher à mon cœur.

Es-tu à ta fenêtre à humer la brise qui porte

La douceur du baiser que tendrement je t’offre ?

Les pétales s’égrainent dans l’air voluptueux

Miroitantes soies délicates, tourbillon élégant.

Suaves parfums envoûtants, que vous ne viviez plus avant !

Magnifiques, précieuses éphémères, donnez tout votre éclat,

Vivez, vivez ! Avant de passer à trépas.

Gorgez vous du parfum pour envoûter les âmes

De ceux qui vous adulent, si douces, si fraîches,

Avant que ne vous atteigne la sordide flétrissure

Qui, de belles orgueilleuses vers de tristes oripeaux

Infâmes, desséchées, délaissées à jamais

Vous arrache du cœur le suc de la vie,

Pantelantes, étonnées, de ne plus être aimées.

Les grillons crisseront sous vos paupières échouées,

Eternels chantres des terres ensoleillées.

Ne pleurez plus, tendres éparpillées,

La nature a salué votre heure de beauté

Pétales énamourés, comme on vous a choyés !

Votre parfum doré ne pourra s’éclipser.

Celui qui de votre miel se sera gorgé,

De la fraîcheur ardente de vos nuits d’été,

Gardera ébloui, enivré à jamais

Le parfum de vos yeux de velours enchâssé,

Pourvu qu’avant l’heure terrible du désaveu

Vous vous dispersiez, mutines, offrant

En représentation vos ultimes appâts soyeux.

Toi si jeune à qui je m’offre, épanouie, généreuse,

Savoure avec délices ces pétales voluptueux

Et quand sera venue l’heure de la flétrissure

Pars ! Sans te retourner, laisse moi me faner,

J’aurais été aimée.                              

Zibelyne le 30 07 2003


Par zibelyne - Publié dans : poème
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Mardi 12 mai 2 12 /05 /Mai 23:35

Chatte

 

Boule, elle roule, se déroule.

De poils se colle, chaude étole

Au rond de ma jambe, enroule,

Aimante de l’instant la caresse

Boule, boulette quémandant.

 

Pelote, roulotte, elle grignote,

Délaisse boudeuse l’assiette

Oublieuse d’avoir voulu pour avoir eu.

Boule, se roule, s’enroule

De mon cou de douceur parant.

 

Boule qui roule, jette, projette,

De l’inconsciente la dépouille,

Boule grise éteinte sous la griffe

D’un dernier instant frémis.

Vie qui roule, se déroule me chamboule.

 

Zibelyne

 

29 janvier 2009

Par zibelyne - Publié dans : poème
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Mardi 6 janvier 2 06 /01 /Jan 17:15

Quand les hommes nous manquent…

 

Etrange émission sur Arte ce mardi 25 novembre 2008. On apprend que le nombre de spermatozoïdes dans le sperme des européens a baissé de 50% en 50 ans.

Enorme n’est ce pas ? On savait que la fertilité masculine était sur la courbe descendante mais à ce point…

Notons que sur ces 50% de survivants, tous ne frétillent pas correctement et certains sont anormaux avec deux têtes, des mutants en quelque sorte.

Le plus délicieux, c’est que ce sont nous, les mères, qui les métamorphosons ainsi durant leur vie de foetus douillettement nichés dans notre ventre.

Car à l’origine, à la procréation nous sommes toutes filles, le processus de masculinisation ne se produit qu’ensuite sous l’effet des hormones.

Mais nous ingérons divers pesticides, paraben,  et des phtalates qui modifient le processus et bloquent carrément les précieuses hormones dans leur développement, soit en altérant la masculinité avec des bébés naissant avec de petits pénis, des testicules qui ne descendent pas et autres menus problèmes, soit en empêchant le déroulement du processus,  et les filles restent filles.

 

Les phtalates sont des molécules chimiques employées pour ramollir le plastique. Interdits depuis 1999 dans les jouets des enfants, on en trouve dans les plastiques alimentaires, gélules de médicaments, cosmétiques, et au taux stupéfiant de 21 à 54% dans les jouets sexuels, godemichés, anneaux et accessoires divers….

Sachant que leur pénétration intradermique est très rapide, il devient hautement risqué de jouer tout seul !

Les phtalates s’attaquent à l’appareil reproducteur mais aussi au foie, aux reins, au fœtus.

Difficile de les identifier sur les étiquettes, il y a  le DBP (ditubyl), DEHP, BBP, DINP, DID P, DNOP…, mais que signifient ces sigles pour le néophyte ?

 

On a découvert des lacs contaminés par la présence de molécules chimiques, lacs hébergeant des bébés alligators au pénis ridicule et les expériences réalisées sur des grenouilles en leur injectant la dose minimale jugée inoffensive les a rendues hermaphrodites.

 

D’autres tests ont été  pratiqués sur des hommes, au sens de mâle bien sur. On les a enduits de crème pour le corps, de ces crèmes onctueuses de phtalates, ces crèmes si suavement parfumées que l’on aime offrir à notre peau, et ce pendant plusieurs semaines.

En une heure seulement leur sang présentait des résidus de phtalates, que dire au bout de plusieurs semaines et de plusieurs années…

 

Voilà comment nous contaminons nos bébés à notre insu, modifiant leur capital génétique, instillant les gênes du cancer et modifiant le travail des hormones vers la création de générations de filles, qui plus est fragilisées.

 

Mais les scientifiques soulèvent u n problème de taille. Ces constatations et études ne portent que sur des molécules prises séparément.

Aucune étude au monde n’a été réalisée sur les effets conjugués de plusieurs des 85.000 molécules en service dans notre société de consommation, et l’effrayante rapidité de la baisse de fertilité pourrait s’expliquer par ces cocktails chimiques auxquels nous sommes exposés.

Personne n’en connaît les effets et le constat actuel ne peut que laisser entrevoir l’ampleur de ce qui va venir, la disparition de la race humaine, tout simplement.

Je soulèverai un autre problème. Ces études ne sont elles mêmes pas conjuguées à celles qui relèvent d’autres champs de dangers pour l’être vivant. Car l’homme n’est plus seul menacé, le végétal comme l’animal le sont, et en début de chaîne souvent.

On peut songer aux études alarmistes sur la catastrophe sanitaire annoncée de la téléphonie mobile, de la wi-fi, des ondes en général.

La surexposition et la juxtaposition de ces sources de nuisance risquent de raccourcir d’autant l’échéance.

 

Nous n’avons plus besoin du nucléaire pour nous détruire, le « Travaillez plus pour gagner plus » de l’Immondissime est une  rigolade qui nous occupe bien tandis que les dirigeants de la planète persistent dans leur volonté de masquer la vérité pour s’enrichir.

Le MON863 de Monsanto, maïs transgénique testé il y a trois ans a affaibli les rats mâles et leur a atrophié les reins tandis que les femelles enflaient et avaient un foie plus volumineux, l’EFSA, Agence Européenne de Sécurité des Aliments donne son aval !

 

Le MON810 donné à des souris a provoqué à la troisième génération des difficultés de reproduction et quelques souriceaux rachitiques. Ouf, il est maintenant interdit en France suite à la grève de la faim de José Bové mais on ne saura jamais s’il entre dans la composition d’aliments produits dans un pays moins regardant, vous savez, ces produits qu’on fait faire ailleurs et qu’on étiquette en France…

Les bénéfices de l’industrie se soucient peu du devenir des générations futures. Quelques hommes dirigent ce monde et orchestrent sa perte en toute impunité.

 

Moi qui vous parle, je dis que notre génération peut dorénavant s’estimer favorisée de ne pas avoir eu des parents vivant dans l’apparente opulence du progrès, de nous avoir conçus à une époque dite difficile car la consommation peu développée n’offrait que des produits simples et peu diversifiés, c’est ce qui nous a permis de vivre une enfance joyeuse, de connaître le plaisir de savoir ce que sont des couilles ! Les petits enfants de nos enfants n’en auront peut-être plus.

 

Imaginez vous le soir à la veillée, vieille radoteuse, racontant à vos arrières petites filles ébahies ce qui n’est plus. Vous leur conterez le temps où les hommes avaient des couilles et une longue queue, le temps où vous écartiez allègrement les jambes pour concevoir avec amour un joli bébé, un vrai !

 

Elles qui ne connaîtront peut-être que la seringue de l’inséminateur dispendieux rêveront de ROCCO affiché dans toute sa grandeur sur les murs des chambres de jeunes filles et lorgneront sur les quelques appendices hélas ramollis des derniers hommes.

 

N’avons-nous pas déjà perçu cette féminisation de certains hommes, de ces hommes soumis au dictat de la montée en puissance du pouvoir des femmes ? Sans en comprendre la raison nous l’attribuions à des causes plus sociales que physiologiques, la raison en serait-elle tout autre ?

 

Mesdames, profitons sans remords des hommes encore présents sur cette terre, ce sont des survivants, des résurgences archaïques d’un futur qui appartient déjà au passé, et nous, femmes, seront les dernières détentrices du bonheur d’avoir goûté au plaisir de la chair, de cette chair chaude et ferme, que dis-je, raide, dressée, magnifique, de ces vertigineuses et troublantes érections offertes à nos sens.

Mesdames je vous en conjure, croquez, goûtez, savourez pour celles qui ne sauront jamais, c’est un devoir de mémoire.

 

Les puissants vont  préparer des stocks de sperme sélectionné en barquettes au congélo, pour des mères porteuses élevées dans un cocon sans pesticides ni crèmes afin de préparer la race dominante de demain, tandis que les races inférieures (les pauvres) se contenteront des écouillés soumis et destinés au labeur tant qu’il leur reste des muscles…

Car la féminisation s’accompagnera de la disparition d’autres caractéristiques masculines, et les filles de demain vont se retrouver à monter les parpaings, à plonger le nez dans le capot, Pour rentrer harassées le soir dans une maison vide d’homme et de gosses, à se taper une bière pas devant le match, il n’y en aura plus, à se masturber devant les photos usées de magazines précieusement conservés.

Elles s’offriront un Bébé Robot à Noël en économisant pour s’offrir la seringue magique qui atteindra des prix vertigineux, et ce uniquement si elles ont un job bien rémunéré.

Y aura-t-il des godemichés sans phtalates ? Le marché est à prendre !

 

Imaginez un monde sans hommes, quelle tristesse !

Les médias évoquent ces femmes qui assument tout toutes seules et le revendiquent. TOUT ?

Je n’y crois pas un instant. Elles ont pour la plupart un ami, un fils, un amant qui pare aux tâches ingrates le moment venu.

Un monde sans hommes est un monde sans vie, sans équilibre et je ne souhaite pas le connaître.

Le phénomène n’est pas encore irréversible. La protection d’escargots marins menacés en 2003 a porté ses fruits, ils ont retrouvé une reproduction normale.

 

Toutes ensemble battons nous pour la sauvegarde des couilles !

Toutes ensembles battons nous pour une activité sexuelle normale !

Exigeons l’éradication des apprentis sorciers coupeurs de queues !

Exit les crèmes on va se badigeonner à l’huile d’olive et sentir la morue dessalée !

Exit les phtalates, bonjour la patate! (Du jardin)

Toutes ensemble on va leur mettre au cul ! Bites, Queues, Couilles, on en veut !!!

 

Zibelyne le 26 novembre 2008

Par zibelyne - Publié dans : réflexions
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